L’état de droit détourné à des fins politiques

Pétition

⛔ Sous couvert de défendre l’état de droit, Bruxelles instrumentalise chaque année son rapport pour désigner les “bons” et les “mauvais” élèves de l’Union européenne en ciblant toujours les mêmes pays, et toujours les mêmes courants politiques.

Pendant que la Hongrie est citée 32 fois, aucun mot sur les scandales qui ont touché l’Union européenne. Le deux poids, deux mesures est devenu une méthode.

📣 À nos côtés, agissez ! Renversons la logique pour enfin :

✅ Mettre fin à l’usage politique du rapport sur l’état de droit ;

✅ Dénoncer les atteintes à la démocratie au sein même des institutions européennes ;

✅ Protéger la souveraineté des peuples face aux dérives de la Commission.

🖊️ Signez notre pétition pour refuser l’instrumentalisation politique de l’état de droit.

Tous les champs suivis d'une astérisque (*) sont obligatoires.

L’état de droit détourné à des fins politiques

L’état de droit détourné à des fins politiques

⚠️ Chaque année, la Commission européenne publie un rapport sur l’état de droit au sein de l’Union européenne. Ce document, présenté comme un outil de surveillance neutre et objectif, est en réalité devenu un instrument politique utilisé pour faire pression sur les gouvernements jugés « déviants ». Derrière l’apparente technicité des recommandations se cache une logique de contrôle et de stigmatisation ciblée, qui ignore systématiquement les dérives des institutions européennes.

📢 Le rapport 2024 illustre une nouvelle fois cette dérive. La Hongrie y est visée à 32 reprises, pendant que les dérives internes à l’Union européenne sont totalement passées sous silence. Dans ce rapport, on ne retrouve rien sur le Qatargate, ce scandale de corruption impliquant plusieurs eurodéputés ; rien sur le Pfizergate marqué par des négociations opaques entre la présidente de la Commission et un laboratoire pharmaceutique. Silence total également sur les conflits d’intérêts comme la nomination de Thierry Breton, ex-patron d’un géant du numérique, directement placé à la tête du portefeuille industriel et technologique de la Commission. Pas un mot, enfin, sur les ONG subventionnées pour faire du lobbying politique au sein même du Parlement, ni sur les liens troubles révélés par le Huaweigate.

🚨 Le Parlement européen, loin de remettre en question cette logique à géométrie variable, pousse à son extension. Il réclame d’inclure les enjeux économiques et de marché dans l’évaluation de l’état de droit, jusqu’à mobiliser le droit de la concurrence pour sanctionner les États récalcitrants. Ce glissement vers une idéologisation totale du concept d’état de droit sert à protéger les institutions bruxelloises tout en désignant de nouveaux ennemis : conservateurs, patriotes ou eurosceptiques.

✊ Nos députés du groupe Patriotes pour l’Europe refusent cette dérive. L’Union européenne n’a pas vocation à juger les démocraties nationales, encore moins au nom d’une morale politique à deux vitesses.

Agissez en signant notre pétition

L’état de droit détourné à des fins politiques
L’état de droit détourné à des fins politiques
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